Augustin est regardé comme l'un des plus grands théologiens et leaders de l'Église. La considération qu'il avait parmi ses pairs peut-être comparée à ce que Paul était parmi les apôtres.
Ses écrits on permis de défendre efficacement la foi chrétienne contre l'attaque de nombreux ennemis et son influence sera une source d'inspiration qui s'étendra de Thomas d'Aquin jusqu'au réformateurs.
L'enseignement d'Augustin :
D'autres œuvres d'Augustin :
Ses écrits on permis de défendre efficacement la foi chrétienne contre l'attaque de nombreux ennemis et son influence sera une source d'inspiration qui s'étendra de Thomas d'Aquin jusqu'au réformateurs.
L'enseignement d'Augustin :
- Aucun de ceux qui divorcent et se remarient ne peut prétendre être dans la volonté de Dieu, ni éviter le péché d’adultère.
- Le remariage d’un(e) divorcé(e) est toujours un adultère.
- Le remariage n’est jamais permis, même en cas d’adultère, de fornication et d’impureté sexuelle du conjoint. Ceux qui épousent un(e) divorcé(e) commettent donc toujours un adultère.
- Tout divorcé remarié est considéré par Dieu comme toujours marié au conjoint précédent, tant que celui-ci est en vie. La loi des hommes n’a aucune valeur devant Dieu. Toute relation sexuelle entre divorcés remariés est donc un péché d’adultère aux yeux du Seigneur et de l’Eglise. C’est une désobéissance flagrante à la Parole de Dieu. Il faut demeurer dans la chasteté et l’abstinence.
- Il est possible de divorcer si le conjoint est coupable d’adultère, mais le conjoint innocent doit demeurer seul, tant que l’autre conjoint est vivant. Seule la mort peut rompre le lien du mariage.
- Il est formellement interdit à un homme qui n’a jamais été marié d’épouser une femme divorcée, dont le conjoint serait encore vivant. Il serait coupable d’adultère. Cela est aussi valable pour une femme qui n’a jamais été mariée. Il lui est interdit d’épouser un homme divorcé dont la femme serait encore vivante. Elle serait aussi coupable d’adultère.
- Le remariage après un divorce ne sera jamais admis par Dieu. Affirmer le contraire serait admettre les superstitions adultères d’un autre dieu que Celui que nous servons.
D'autres œuvres d'Augustin :