Deutéronome 24.1-4
""Lorsqu'un homme aura pris et épousé une femme qui viendrait à ne pas trouver grâce à ses yeux, parce qu'il a découvert en elle quelque chose de honteux, il écrira pour elle une lettre de divorce, et, après la lui avoir remise en main, il la renverra de sa maison. 24.2 Elle sortira de chez lui, s'en ira, et pourra devenir la femme d'un autre homme. 24.3 Si ce dernier homme la prend en aversion, écrit pour elle une lettre de divorce, et, après la lui avoir remise en main, la renvoie de sa maison; ou bien, si ce dernier homme qui l'a prise pour femme vient à mourir, 24.4 alors le premier mari qui l'avait renvoyée ne pourra pas la reprendre pour femme après qu'elle a été souillée, car c'est une abomination devant l'Éternel, et tu ne chargeras point de péché le pays que l'Éternel, ton Dieu, te donne pour héritage."
Le Deutéronome (ou seconde loi) est un code de lois qui a été prescrit à cause de la dureté des cœurs comme le rappel Jésus.
Matthieu 19.7-8 : "Pourquoi donc, lui dirent-ils, Moïse a-t-il prescrit de donner à la femme une lettre de divorce et de la répudier? 19.8 Il leur répondit: C'est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes; au commencement, il n'en était pas ainsi."
Avec la nouvelle alliance, seuls deux commandements demeurent :
Matthieu 22.37-40 : "Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. 22.38 C'est le premier et le plus grand commandement. 22.39 Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. 22.40 De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes."
Jésus nous ramène à la pensée originelle de Dieu.
À l'époque de Moïse, l'homme et la femme adultères étaient tous deux lapidés. Il en allait de même pour une femme qui n'était pas trouvé vierge lors de sa nuit de noce.
"Quelque chose de honteux" ne désigne donc pas une infidélité sexuelle (adultère ou fornication) de la part de l'épouse mais une inconvenance au regard du mari, inconvenance que nous ne pouvons pas clairement définir puisque le terme même est ambigu.
C'est ainsi qu'à l'époque de Jésus, deux écoles de pensée ont émergé au sujet du divorce avec chacune son interprétation :
Et alors que Jésus à combattu durant tout son ministère la dureté de cœur des pharisiens, aujourd'hui l'église semble petit à petit retourner vers un mode de pensée identique en tentant de trouver toutes sortes de raisons qui pourraient venir valider un divorce puis un remariage (voir "les pharisiens dans nos églises).
La deuxième union de cette femme est une souillure.
Il en est de même pour un remariage dans nos temps présents; aux yeux de Dieu seule la première alliance est scellée et ce pour la vie.
Certains objecteront que cette femme ne peut plus revenir vers son premier mari sans commettre "une abomination", donc les liens du mariage ont été brisés.
Pour comprendre que ce n'est pas nécessairement le cas suivez le lien ci-dessous :
Rappel !
Du temps de Moïse l'infidélité conjugale était puni de mort et donc laissait libre la victime de se remarier puisque son conjoint n'était plus en vie.
Aujourd'hui c'est la loi du pardon qui doit régner dans nos cœurs. L'infidélité conjugale ne peut donc plus être un motif valable pour divorcer et en aucun cas ne permet un remariage.
Rappelons nous que Jésus a abolit la loi du talion "œil pour œil" (Deutéronome 19.21) au profit de la loi parfaite de l'amour (Matthieu 5.38-48).
Le décalogue (les 10 commandements) est une loi qui est bonne; par contre le code mosaïque (et notre passage de Deutéronome 24) n'a plus lieu d'être appliqué parmi les chrétiens puisque notre cœur de pierre a été changé en cœur de chair par l’œuvre et le don de l'Esprit Saint de Dieu.
Le Deutéronome (ou seconde loi) est un code de lois qui a été prescrit à cause de la dureté des cœurs comme le rappel Jésus.
Matthieu 19.7-8 : "Pourquoi donc, lui dirent-ils, Moïse a-t-il prescrit de donner à la femme une lettre de divorce et de la répudier? 19.8 Il leur répondit: C'est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes; au commencement, il n'en était pas ainsi."
Avec la nouvelle alliance, seuls deux commandements demeurent :
Matthieu 22.37-40 : "Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. 22.38 C'est le premier et le plus grand commandement. 22.39 Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. 22.40 De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes."
Jésus nous ramène à la pensée originelle de Dieu.
À l'époque de Moïse, l'homme et la femme adultères étaient tous deux lapidés. Il en allait de même pour une femme qui n'était pas trouvé vierge lors de sa nuit de noce.
"Quelque chose de honteux" ne désigne donc pas une infidélité sexuelle (adultère ou fornication) de la part de l'épouse mais une inconvenance au regard du mari, inconvenance que nous ne pouvons pas clairement définir puisque le terme même est ambigu.
C'est ainsi qu'à l'époque de Jésus, deux écoles de pensée ont émergé au sujet du divorce avec chacune son interprétation :
- l'école de Shammai qui enseignait qu'un homme pouvait répudier sa femme s'il découvrait en elle quelque chose d'indécent (emphase sur "quelque chose de honteux")
- l'école de Hillel qui enseignait qu'un homme pouvait répudier sa femme pour plus ou moins n'importe quelle raison (emphase sur "ne pas trouver grâce à ses yeux")
Et alors que Jésus à combattu durant tout son ministère la dureté de cœur des pharisiens, aujourd'hui l'église semble petit à petit retourner vers un mode de pensée identique en tentant de trouver toutes sortes de raisons qui pourraient venir valider un divorce puis un remariage (voir "les pharisiens dans nos églises).
- "... le premier mari qui l'avait renvoyée ne pourra pas la reprendre pour femme après qu'elle a été souillée ..."
La deuxième union de cette femme est une souillure.
Il en est de même pour un remariage dans nos temps présents; aux yeux de Dieu seule la première alliance est scellée et ce pour la vie.
Certains objecteront que cette femme ne peut plus revenir vers son premier mari sans commettre "une abomination", donc les liens du mariage ont été brisés.
Pour comprendre que ce n'est pas nécessairement le cas suivez le lien ci-dessous :
Rappel !
Du temps de Moïse l'infidélité conjugale était puni de mort et donc laissait libre la victime de se remarier puisque son conjoint n'était plus en vie.
Aujourd'hui c'est la loi du pardon qui doit régner dans nos cœurs. L'infidélité conjugale ne peut donc plus être un motif valable pour divorcer et en aucun cas ne permet un remariage.
Rappelons nous que Jésus a abolit la loi du talion "œil pour œil" (Deutéronome 19.21) au profit de la loi parfaite de l'amour (Matthieu 5.38-48).
Le décalogue (les 10 commandements) est une loi qui est bonne; par contre le code mosaïque (et notre passage de Deutéronome 24) n'a plus lieu d'être appliqué parmi les chrétiens puisque notre cœur de pierre a été changé en cœur de chair par l’œuvre et le don de l'Esprit Saint de Dieu.