Dans l'état actuel des choses (standards chrétiens malheureusement ramenés aux standards mondains avec une église de plus en plus conformiste et libérale) on pourrait être amené à raisonner de la manière suivante :
Rien, évidemment, d'un point de vue de la législation française ne viendra empêcher quiconque de divorcer !
Le danger serait donc de penser que puisque le droit français permet de divorcer, alors l'action est légitime.
Les standards humains ne sont que rarement équivalents aux standards divins! Surtout lorsque l'on sait que le prince de ce monde, c'est le diable.
À l'opposée du droit français, voilà ce qu'enseigne la bible :
l'indissolubilité du mariage.
De plus, la procédure de divorce se fait par voie judiciaire avec l'obligation d'avoir recours à un avocat pour chacune des parties.
Un couple chrétien qui décide de divorcer s'oppose donc clairement à l'enseignement que Paul donne aux corinthiens.
I Corinthiens 6.1-7 : "Quelqu'un de vous, lorsqu'il a un différend avec un autre, ose-t-il plaider devant les injustes, et non devant les saints ? 6.2 Ne savez-vous pas que les saints jugeront le monde? Et si c'est par vous que le monde est jugé, êtes-vous indignes de rendre les moindres jugements? 6.3 Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges? Et nous ne jugerions pas, à plus forte raison, les choses de cette vie? 6.4 Quand donc vous avez des différends pour les choses de cette vie, ce sont des gens dont l'Église ne fait aucun cas que vous prenez pour juges! 6.5 Je le dis à votre honte. Ainsi il n'y a parmi vous pas un seul homme sage qui puisse prononcer entre ses frères. 6.6 Mais un frère plaide contre un frère, et cela devant des infidèles! 6.7 C'est déjà certes un défaut chez vous que d'avoir des procès les uns avec les autres. Pourquoi ne souffrez-vous pas plutôt quelque injustice? Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt dépouiller? "
Les chrétiens ont à juger des affaires au sein de l'Église (impudicité, adultère, mensonge, violence etc). Paul nous le rappelle dans cette épître aux corinthiens.
Si nous avions le courage d'agir promptement, peut-être que certains conflits conjugaux ne finiraient pas devant les tribunaux mais se règleraient devant le Seigneur avec le soutien spirituel de frères et sœurs biens plus compétents que la justice du monde.
Quel mauvais témoignage qu'un couple chrétien laissera autour de lui (juges, avocats, médiateurs, voisinage, amis) au cours de la longue procédure de divorce.
Jésus nous appelle à être le sel de la terre, "des enfants de Dieu irréprochables au milieu d'une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie" (Philippiens 2.15-16).
Lorsqu'un frère et/ou une sœur en Christ divorce, c'est l Église et le Saint Nom de Dieu qui sont salis.
- Le mariage n'est qu'un contrat régit par le code civil.
- La législation française me permet de divorcer aisément avec une procédure de plus en plus simplifiée.
- Pourquoi ne serait-ce pas légitime de profiter pleinement de mes droits ?
Rien, évidemment, d'un point de vue de la législation française ne viendra empêcher quiconque de divorcer !
Le danger serait donc de penser que puisque le droit français permet de divorcer, alors l'action est légitime.
Les standards humains ne sont que rarement équivalents aux standards divins! Surtout lorsque l'on sait que le prince de ce monde, c'est le diable.
À l'opposée du droit français, voilà ce qu'enseigne la bible :
l'indissolubilité du mariage.
De plus, la procédure de divorce se fait par voie judiciaire avec l'obligation d'avoir recours à un avocat pour chacune des parties.
Un couple chrétien qui décide de divorcer s'oppose donc clairement à l'enseignement que Paul donne aux corinthiens.
I Corinthiens 6.1-7 : "Quelqu'un de vous, lorsqu'il a un différend avec un autre, ose-t-il plaider devant les injustes, et non devant les saints ? 6.2 Ne savez-vous pas que les saints jugeront le monde? Et si c'est par vous que le monde est jugé, êtes-vous indignes de rendre les moindres jugements? 6.3 Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges? Et nous ne jugerions pas, à plus forte raison, les choses de cette vie? 6.4 Quand donc vous avez des différends pour les choses de cette vie, ce sont des gens dont l'Église ne fait aucun cas que vous prenez pour juges! 6.5 Je le dis à votre honte. Ainsi il n'y a parmi vous pas un seul homme sage qui puisse prononcer entre ses frères. 6.6 Mais un frère plaide contre un frère, et cela devant des infidèles! 6.7 C'est déjà certes un défaut chez vous que d'avoir des procès les uns avec les autres. Pourquoi ne souffrez-vous pas plutôt quelque injustice? Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt dépouiller? "
Les chrétiens ont à juger des affaires au sein de l'Église (impudicité, adultère, mensonge, violence etc). Paul nous le rappelle dans cette épître aux corinthiens.
Si nous avions le courage d'agir promptement, peut-être que certains conflits conjugaux ne finiraient pas devant les tribunaux mais se règleraient devant le Seigneur avec le soutien spirituel de frères et sœurs biens plus compétents que la justice du monde.
Quel mauvais témoignage qu'un couple chrétien laissera autour de lui (juges, avocats, médiateurs, voisinage, amis) au cours de la longue procédure de divorce.
Jésus nous appelle à être le sel de la terre, "des enfants de Dieu irréprochables au milieu d'une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie" (Philippiens 2.15-16).
Lorsqu'un frère et/ou une sœur en Christ divorce, c'est l Église et le Saint Nom de Dieu qui sont salis.